. Résumé : Le premier album de Komodrag & the Mounodor a été réalisé en Terre Sainte Finistérienne (Bretagne). C’est dans le studio TAF Panoramix du bassiste et chanteur du groupe que les 7 mercenaires du rock ont posé leurs guêtres. Un pur produit home-made ! Green Fields of Armorica est un album composé de huit titres allant de morceaux classic rock tels que “Marie-France” aux ballades les plus mélancoliques comme “It could be you”. Un opus qui nous amène faire une virée à l’âge d’or du rock, accompagné par deux batteries, trois guitares survitaminées et un orgue Hammond, pour un disque entre rock 70’s et rock psychédélique, à l’énergie 100% débordante. Les 7 musiciens, dont 4 d’entre eux se partagent le micro, apportent une ardeur et un esprit bien caractéristiques au disque, tels les supergrands des années 70’s, les voix sont prédominantes sans voler la place aux amplis & autres instruments. Pour embellir les parties vocales, le groupe a fait appel aux chanteuses Claudia Gonzalez (Cachemira) et Maëlle Puligny (Modulator II). Fervents défenseurs de l’héritage des Creedence Clearwater Revival ou encore Grand Funk Railroad pour ne citer qu’eux, le groupe espère bien laisser une marque indélébile dans les esprits avec ce premier disque.wendoline, est un duo-antihéros de la scène indé rennaise. Loosers sensibles et grands blasés de la start up nation, Micka et Pierre façonnent leur propre style, une shlag wave sombre dans un chanté-parlé percutant et poétique avec pour source première d’inspiration les discussions de comptoir, en regardant celles et ceux qui les entourent.

. Notre avis : Réunion de deux groupes bretons, le duo Moundrag de Paimpol et le quatuor Komodor de Douarnenez unissent leurs forces musicales au sein de Komodrag and the Mounodor. Il suffit de huit titres pour que l’énégie prenne forme et que la synergie soit totale. Démarrant en trombe avec un « Marie France » foudroyant, le supergroupe nous en met plein les oreilles avec ce subtil mélange entre classic rock progressif et heavy psychédélique où les riffs fuzzy s’en donnent à cœur joie. Un parfait mélange entre Deep Purple et Jefferson Airplane, saupoudré de paillettes de Led Zep ! la base Gwendoline n’était qu’une farce menée de mains de maître par un duo rennais. Jouant de l’autodérision, ces deux compères ont réussi à toucher là où ça fait mal, à prendre le contrepied du malaise ambiant, le tout sur fond de new wave désuète… Alors rendez-vous au PMU à 8h du matin…

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