Water is wet

Théo Hakola
Microcultures
janvier 2020

. Résumé : Romancier, acteur, producteur, réalisateur, homme de théâtre, journaliste, poète, globe-trotteur… Les personnalités sont nombreuses à cohabiter dans l’énigmatique et diaphane silhouette de Théo Hakola. Parmi toutes, c’est certainement l’homme de musique qui a la part du lion. Et la plus grande reconnaissance d’un public qui le suit depuis les années 80 et les débuts tonitruants de Passion Fodder et Orchestre Rouge.

. Notre avis : Une très belle réussite que ce huitième album du néanmoins discret Théo Hakola. Quel plaisir de retrouver sa  voix à la fois chaude et grave et son verbe à la plume si affinée. Si une large place est laissée à l’expression, on n’en néglige pas pour autant le support sonore. Le mélange de blues, de folk, de cabaret rock et de chanson est bien dosé et on se laisse emporter par le rythmes des compos à l’atmosphère cinématographique.

 

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